Une oeuvre étonnante , à la
Galerie Rouge de Pont L'Abbé du samedi 4 aout au dimanche 26 aout , du
mercredi au dimanche , de 10h30 à 12h30 et de 16h30 à19h30 ,
Christine Le Nézet vous accompagnera , en personne , dans son voyage .............
« Du milieu de la tempête qui me déracine, me dépossède de mon identité, je veux parfois revenir à l’origine - à mon origine. »
de Roland Barthes
Dans une pluralité de langages tels la peinture, la gravure et l’installation, il m’importe de m’approprier et de revisiter des formes du collectif (menhirs, totems..). Je recherche des formes nouvelles, j’éprouve les matières en gravant sur bois, sur zinc ... Je me confronte à des matériaux divers d’où émergent des formes imprévisibles. J’aime aller jusqu’au bout de la résistance de ceux ci en les coupant, les découpant, les déstructurant pour nouvellement les reconstruire.
Il s’agit aussi de lier la matière et la couleur pour créer des espaces au sein desquels on peut se laisser absorber.
Je mène au travers de ma pratique artistique une interrogation concernant le cheminement humain : croisements, routes, destruction, construction, invention, incantations...
Depuis 2010 un travail de peinture est initié par une recherche sur les costumes du théâtre Nô japonais.J’inclue dans ces travaux, par collage, des papiers de patrons pour vêtements.
On peut lire l’infini dans ces formes très strictes de costumes.
Depuis 2010 également, je poursuis un travail gravitant autour de l’élément « air ».Il donne lieu à de peintures et des installations dont l’unité plastique de base est le masque de protection respiratoire.
Je poursuis donc mon interrogation. L’évolution de l’homme avec et dans son environnement est une question qui devient cruciale et s’inscrit dans une dimension d'universalité.
Dans une pluralité de langages tels la peinture, la gravure et l’installation, il m’importe de m’approprier et de revisiter des formes du collectif (menhirs, totems..). Je recherche des formes nouvelles, j’éprouve les matières en gravant sur bois, sur zinc ... Je me confronte à des matériaux divers d’où émergent des formes imprévisibles. J’aime aller jusqu’au bout de la résistance de ceux ci en les coupant, les découpant, les déstructurant pour nouvellement les reconstruire.
Il s’agit aussi de lier la matière et la couleur pour créer des espaces au sein desquels on peut se laisser absorber.
Je mène au travers de ma pratique artistique une interrogation concernant le cheminement humain : croisements, routes, destruction, construction, invention, incantations...
Depuis 2010 un travail de peinture est initié par une recherche sur les costumes du théâtre Nô japonais.J’inclue dans ces travaux, par collage, des papiers de patrons pour vêtements.
On peut lire l’infini dans ces formes très strictes de costumes.
Depuis 2010 également, je poursuis un travail gravitant autour de l’élément « air ».Il donne lieu à de peintures et des installations dont l’unité plastique de base est le masque de protection respiratoire.
Je poursuis donc mon interrogation. L’évolution de l’homme avec et dans son environnement est une question qui devient cruciale et s’inscrit dans une dimension d'universalité.
Comment
se définit une individualité ? Quel est le chemin de l’individuation ?
Quelles sont les conditions pour que je reconnaisse l’autre, accepte ou
pas ses différences ?
Puis-je considérer que, quel que soit l’individu, je suis dans le même monde que lui et par conséquent relié à lui ? Quel regard avoir face au monde et aux problématiques humaines et écologiques?
C’est par ce type de questionnements que j’en suis arrivée à me former en astrologie.
Tout naturellement mes deux passions, l’art et l’astrologie, se sont mises à dialoguer et à partager des formes.
Je dirais que le projet « Identités » est un enfant des projets précédents. Le lien entre tous ces projets me semble interroger la responsabilité individuelle et collective à respecter la planète et la vie, ainsi que l’implication que je peux avoir au sein de l’évolution de notre humanité.
«Identités» est finalement une quête de sens.
Ce travail propose quatre entrées :
Puis-je considérer que, quel que soit l’individu, je suis dans le même monde que lui et par conséquent relié à lui ? Quel regard avoir face au monde et aux problématiques humaines et écologiques?
C’est par ce type de questionnements que j’en suis arrivée à me former en astrologie.
Tout naturellement mes deux passions, l’art et l’astrologie, se sont mises à dialoguer et à partager des formes.
Je dirais que le projet « Identités » est un enfant des projets précédents. Le lien entre tous ces projets me semble interroger la responsabilité individuelle et collective à respecter la planète et la vie, ainsi que l’implication que je peux avoir au sein de l’évolution de notre humanité.
«Identités» est finalement une quête de sens.
Ce travail propose quatre entrées :
« Vous avez vos papiers ? »
« Qui suis-je ?»
« Hé machin c’est quoi ton nom déjà ? »
« Michelin(e) «
« Qui suis-je ?»
« Hé machin c’est quoi ton nom déjà ? »
« Michelin(e) «
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