du 27 mai au 28 juin , au 15 rue Victor hugo pont l'abbé
accueil par l'artiste le samedi et dimanche matin de 10 h00 à 12 h00
exposition visible du mercredi au dimanche de 16h00 à 19 h00 , aux mêmes heures que le café librairie Le Vert Lisant !
ou sur rendez vous : téléphone 06 52 16 03 74
règles de protection des personnes : masque obligatoire, quatre personnes dans le lieu simultanément
merci de protéger ainsi les autres ...
quelques paroles sur son chemin ..
Laure
Godefroy
Le parcours de Laure
Godefroy débute en Creuse. Dès ses 13 ans, elle rencontre un
sculpteur qui lui permet d’expérimenter la sculpture en terre,
métal, plâtre et autres matériaux.
Ensuite, comme une évidence,
elle fait le choix des arts appliqués au lycée.
Elle poursuit en 2001 vers un
Diplôme des Métiers d’Art à l’Ecole Nationale Supérieure des
Arts Appliqués et des Métiers d’Art à Paris (Olivier de Serres)
où elle apprend le travail du métal et plus spécialement la
dinanderie.
Pour parfaire sa formation,
elle part se former à la technique du bronze à cire perdue au
Burkina Faso pendant plusieurs mois.
A son retour en France, elle
fait trois expositions puis devient orfèvre à Paris en 2005.
Tout d’abord à l’Atelier
du Cuivre au Viaduc des Arts à Paris et chez Aubry Cadoret à
Bastille où elle est responsable de la création d’objets d’art
de la table et de la restauration.
Par la suite, l’envie de
découvrir de nouveaux matériaux et techniques l’amène à
travailler à la création de vitrines ( de la sculpture jusqu’à
la pose en vitrine) pour des magasins de luxe à Paris. (Vuitton,
Chanel, Dior, Galeries la fayette, B.H.V)
En 2017, elle choisit de
s’installer à Combrit, dans le Finistère pour se consacrer
exclusivement à sa création et relier avec un cadre de vie
naturel !
La dinanderie est la
technique que Laure utilise pour ses créations, elle consiste à
mettre en forme des feuilles de cuivre ou de laiton travaillées
entièrement au marteau.
Plusieurs passes avec
différents maillets et marteaux sont nécessaires à l’élaboration
d’une pièce et entre chaque passe, un recuit au chalumeau permet
de rendre plus malléable le métal et de le rétreindre.
Que choisit on de laisser
voir à l’autre ?
Une envie, parfois un
besoin de se sentir bien à l’abri dans son cocon.
Entrouvrir la porte et
apercevoir d’un œil ce qui se passe au dehors…
Ou tout à coup, ouvrir en
grand, laisser entrer l’air et sortir la lumière !
Les sculptures de Laure
exposent et protègent en même temps l’intime, elles deviennent
cocon pour qui se les approprie.
La forme met en valeur et
contient simultanément ce que l’on vient déposer à l’intérieur.
Chaque écrin est unique dans
sa réalisation, sa symbolique et ce qu’il dégage.
La nature est à l’origine
des formes douces, rondes et organiques que Laure crée, teintées de
patines de couleurs végétales ou minérales.
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